dimanche 6 février 2011

un autre jour sur terre / one other day on the Earth


These (on the left) are Tonton and HB (my nephew).
Guess where ?

We walked this day in the "passages" and the Grands Boulevards, places usually disdained or ignored by tourists - until now - despite their very parisian touch and authencity.

As a matter of fact, there is no monuments here except a dozen theaters which gave the name "théatre de boulevard" to plays about the famous and so french trio of wife/husband/lover (this one usually hiden in the wardrobe).

Then we went to Grevin' (wax museum as Mme Tussaud' ).

I dedicate this photo to my mom

baba bling


expo sur la vieille communauté chinoise de Singapour / les Baba Bling / au musée du quai branly à Paris : en effet très "bling bling"; des familles qui assument parfaitement leurs traditions, leur héritage "ancestral" mais aussi leur réussite sociale passée par une certaine occidentalisation du mode de vie.

Remarqué notamment les couleurs vives et acidulées des poteries ( ci-dessous) et des tapis de perles et vêtement de perles enfilées comme sur la photo d'oiseau et fleur ci-contre

La communauté et son mode de vie sont en voie de disparition, finalement assimilés dans le melting pot singapourien. Le signe le plus sû de cette disparition est la création de musées dédiés aux Babas à Singapour même.



Cette culture originale n'aura duré guère plus de cinq générations

lundi 24 janvier 2011

la petite fille était très absorbée


je reprends aussitôt ce blog pour publier une autre image qui atténue l'impression vraiment glauque du message précédent et puis la photo qui se voulait un pastiche bukovskien est vraiment trop laide ! (sauf les reflets rougeâtre sur le visage et les lèvres obtenus de façon hasardeuse par un défaut de l'appareil numérique utilisé)
je m'initie depuis peu à la photo reflex avec un autre appareil, un "vrai" Nikon : les dix ans qui viennent ne seront pas de trop pour que je le maîtrise tant soit peu moi qui suit si peu tehnophile ou du moins si techno- malhabile.
mon problème premier c'est l'encombrement de l'appareil qui rend quasi impossible de shooter avec discrétion (enfin l'adorable petite fille ici était vraiment absorbée par son jeu).
mon problème second : la multiplicité des options - je crois que j'ai un certain instinct pour le cadrage mais pas du tout pour le choix de prise de vue... bon max m'a tout de même écolé sur l'ouverture et la vitesse d'obturation qui semblent être les deux paramètres essentiels.

ce soir j'écoute du Mayall (John) il a le "blues power" c'est MCM qui voici 40 piges (quarante ans plus tôt !) m'a fait découvrir ça : elle grattait dans la salle d'étude... on avait vingt ans et le monde nous appartenait
si peu
le 24 janvier 1971
mais nous avions une jeunesse bien sage et soucieuse aussi
on ne voulait pas trop penser à ce que l'avenir ferait de nous ou ce qu'on ferait de nous
je veux me surprendre encore
ces années ne m'ont pas affectées...
je redécouvre tous les jours ce que j'ai cru découvrir un jour et j'aime encore qui m'a aimé

samedi 22 janvier 2011

claude monet expo paris

aujourd'hui samedi : denier week end de l'expo claude monet à paris : ouvert 24/24... nous décidons une tentative dès le matin. avant 9 heures à peine une demie heure de file (en fait j'ai triché un peu avec ma carte de presse pour faire entrer mib).
l'intérêt : toutes ces toiles venues de grands musées et collections étrangères et qui ne reviendront sans doute pas à paris de notre vivant (une remarque de mib). de fait je passe rapidement devant les peintures conservées au musée d'Orsay ou autres musées parisiens, mais je m'attarde longuement devant celles qui ont fait un plus long voyage jusqu'au grand palais : notamment "la capeline rouge" (Camille la première femme de cl. monet dehors sous la neige vue à travers une porte fenêtre) qui vient de Cleveland -
un bouquet de chrysanthèmes rouges (coll. particulière)
je vois la vue du jardin de Giverny (avec son fils dans l'allée qui mène à la maison au fond) dont la reproduction est accrochée dans le garage depuis des années...
des toiles de Suisse, d'Allemagne, de Russie et bien entendu des USA.
Vers la fin de l'expo ( et la fin de sa vie) trois toiles, de véritables barbouillis à la pâte épaisse et aux tons très vifs peu dans la palette habituelle "du maître" : datées 1920 - 1922, avant son opération de la cataracte (sur les conseils de son pote Georges Clémenceau) il est alors quasi aveugle sans doute. Commentaires des visiteurs étonnés ("tourmenté", "hanté par l'enfer" etc.)

mercredi 10 février 2010

kimchi

il existe plusieurs sortes de kimchi et vous ne le saviez pas ! le kimchi est aux Coréens ce que le fromage est aux Français, sauf que chaque famille a sa propre façon de le faire... normalement à base de chou fermenté et épicé (tout est dans le choix des épices...) le kimchi peut en fait être aussi réalisé avec des navets, des patates et finalement toute espèce de racines. Le kimchi est toujours présent comme condiment et accompagnement d'un repas, comme le sel et le poivre sur une table occidentale.
Mon conseil : Les restaurants coréens ne présentent pas systématiquement du kimchi à leurs clients non coréens, mais si vous le demandez, il ne vous sera pas refusé (et très généralement servi sans supplément)

velo en ville : sport ou tran/sport ?

le réparateur de vélos de mon quartier propose tout un catalogue de vélos à assistance électrique : les prix vont de 990 à 1500 euros, cela dépend - apparemment - de la batterie choisie : les moins chers étant à batterie au plomb (durée de vie environ un an, et recyclage impossible, bonjour la planète). batterie lithium ion plus "durable" dans tous les sens du terme. l'argument du réparateur vendeur de vélos : les seconds sont plus chers mais on peut bénéficier d'une subvention de l'Etat - ou de la mairie à Paris - cela n'était pas très clair... et au bout du compte le vélo à batterie lithium ion revient au même prix que le plomb (sans la subvention, vous suivez ?). Bon de toute façon Paris comme Rome étant une ville ceinte de collines (Montparnasse, Montmartre, Butte aux Cailles, colline de Chaillot, sans parler de la montagne Sainte Geneviève), la bicyclette est un sport plutôt qu'un moyen de transport, non ? à moins de supporter de sentir la frite en arrivant à son rendez-vous completveston ça ne le fait pas.